regard de Robert

Histoire

Les Début de CURE commencent à la sortie des classes de la petite ville de Crawley. Robert Smith a 17 ans. Avec son copain d'enfance, Lol Tolhurst et d'autres garçons de son âge, il fonde en 76 les Easy-Cure. Pendant deux ans c'est la va-et-vient, les membres se succèdent, mais en 78 la formule se stabilise et aboutit à un trio: Michael Dempsey à la basse, Lol Tolhurst à la batterie et Robert Smith au chant et à la guitare. Le groupe se batise désormais : THE CURE.

photo de RobertEn août de la même année, le trio fait une rencontre capitale avec Chris Parry directeur de Fiction Records. Sans hésiter, devinant les capacités du groupe, Parry signe The Cure sur son label. Dés ses premiers pas, The Cure fait couler beaucoup d'encre. Inspiré du roman de Camus "L'étranger", le premier 45 tours "Killing in Arab" fait l'effet d'une bombe raciste, mais le groupe distribue après ses concerts des exemplaires du livre.

La discographie de Cure est longue. En mai 1979, sort l'album "Three Imaginary boys" et le groupe amorce sa première tournée dans les clubs et théâtres en Grande-Bretagne. A cette occasion, Robert rencontre un autre groupe, Siouxsie and the Banshees. Dès 80 The Cure entre dans une période assez noir. Les trois albums qui suivent "Seventeen Seconds", "Faith" et "Pornography" sont trés dépressifs et la tradition s'installe chez leurs fans de se rendre aux concerts tout de noir vêtus, le visage aussi coloré que celui d'un cadavre. Lentement Cure élargit son public, mais la formule du groupe est instable. Simon Gallup entré en 79 en repart en 82. Robert Smith lui-même prend ses distances et excellent guitariste, va jouer avec les Banshees puis avec The Glove.

Paradoxalement, c'est à cette époque que Cure connait ses premiers grands succés discographiques en Grande Bretagne avec "Let's go to Bed", "Love Cats" et "Caterpillar Girl". Une compilation "Japanese Whispers" marque la sortie du marasme. Moins de quatre mois s'écoulent et The Cure sort alors "The Top" en partie enregistré à Paris. Ce disque confirme le nouvel état d'esprit du groupe.

En mai 84 la "bande à Robert" fait exploser le Zénith de Paris, mais le grand tournant date de juillet 85 au festival d'Athènes où fans et journalistes découvrent de nouvelles chansons (c'elles de l'album "The head on the door") et le retour à la basse de Simon Gallup. C'est en France que le disque connaîtra le meilleur accueil, dévellopant une Curemania insensée. Très a l'aise dans l'hexagone, le groupe enregistre alors son double album "Kiss me, Kiss me, Kiss me", un autre succés.

Aprés une tournée en 87, silence. On parle beaucoup de la séparation du groupe, d'un projet solo pour Robert Smith... Contre toute attente, c'est un nouvel album "Desintegration" qui sort dans une lignée proche des années les plus sombres.

Février 2000, enfin le retour avec la sortie d'un nouvel album suivi bien évidement d'une tournée. BLOODFLOWERS est son titre, il contient 9 nouvelles chansons et, comme a l'habitude, Robert Smith à fait beaucoup sur ce nouveau chef d'oeuvre...

2 Mai 2000 : leurs dernier concert de la tournée en France, au Dôme à Marseille, 3 rappel du public marseillais pour 3 heures de concert sublime, géant, magique, du grand art , en deux mots : THE CURE quoi!!!!!!.

Seule critique négative, la qualité du son, mais peut-on le leurs reprocher à eux ????.

Merçi pour se moment phéhérique et espérons à trés Bientôt pour un nouvel album suivi, bien évidement, d'une nouvelle tournée.


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